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Les Morts de la Saint-Jean
6 janvier 2011

Phrase marquante

Une phrase - ou un extrait - du roman vous marque plus particulièrement.  Peut-être est-ce une phrase que vous auriez aimé écrire...  Quelle est cette phrase et pourquoi vous marque-t-elle ?

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N
L’extrait qui m’a marquée le plus de ce roman est le suivant : « Je vais bientôt mourir, dit l'homme. Dans trois semaines à peu près. A quoi me sert l'argent?». L’homme me semblait très réaliste; il sait que l’argent lui servira à rien après sa mort. Il me parrait qu’il est bien préparé à mourir et que les objets matériels ne l’intérrèssent plus. Cette phrase m’a rendue triste, car j’ai senti que quand les gens savent quand ils mourront, ils perdent tout espoir à s’attacher à la vie.
L
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B
*La phrase qui m'a le plus perturbé est la suivante, prononcée [...]
B
La phrase qui m'a le plus perturbé est le suivant, prononcé par Ake Larstam :<br /> "- Tôt ou tard, le bonheur conduit à son contraire. Je voulais leur épargner ce retournement. J'en rêvais [...]" <br /> Cette phrase m'a fait penser, parce qu'elle indique que le tueur commettait ses crimes parce qu'il pensait qu'il aidait ses victimes et qu'il agissait pour le bien de tous. Dans sa tête, il valait mieux de tuer les personnes heureuses afin qu'elles ne soient pas malheureuses par la suite. Ceci est troublant, car personne d'heureux ne pense à se suicider pour éviter un malheur possible. Les victimes ne voulaient donc pas mourir, contrairement à ce que Ake pensait.
F
La phrase qui m’a marquée dans le roman est : « Les rêves de jeunesse s'envolent mais la musique reste. ». Wallander est allé rendre visite à son ami Sten Widén et ils se sont mis à discuter. L’inspecteur mentionne qu’il aurait aimé vivre à la campagne avec un chien et surement avec Baiba. Widén parle de ses employés, des jeunes filles sans confiance en elles et surtout sans aucune autre formation que celle obtenue à l’écurie. Il raconte qu’il ne leur reste aucun espoir, aucun rêve. Cette phrase est une jolie pensée. Elle m’a marquée parce qu’au fur et à mesure que l’on vieillit, on change, on devient plus mature. Les rêves s’en vont un peu, on les oublie, malgré tout, certains se réalisent. Par contre, la musique c’est tangible, ça reste et elle nous rappelle la jeunesse et les rêves que nous avions.
Les Morts de la Saint-Jean
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